Cette année, pour la première fois, j'ai pris le temps de visiter la Medina de Tunis. Une première fois j'ai parcouru la partie qui fait immédiatement suite à la Place du Gouvernement (souk des bijoutiers dit souk "Ettrouk", des chéchias, Mosquée Zitouna) et c'est à cette occasion que j'ai visité un,e grande maison bourgeoise entièrement restaurée, Dar El Medina, dont j'ai déjà parlé ici.
Un autre jour, j'ai voulmu visiter le quartier de la Mosquée Sidi Mahrez. cette Mosquée que l'on voit de loin et surtout de haut, à partir des terrasses, est particulière car construite à la manière des mosquées d'Istambul. De haut et d'un peu partout à Tunis on voit ses quatre ou cinq coupoles blanches.
Sidi Mahrez est le saint protecteuir de la ville de Tunis et son tombeau se trouve dans un bâtiment face à la mosquée,bâtiment qui a été corectement restauré en 1998. La salle où se trouve le tombeau est superbement décorée: plafond peint, nombreux et riches tapis au sol, lustres de cristal et le tombeau lui-même est entourré d'une grille ouvragée qui semble en argent.
Le saint est encore vénérè et l'on assiste à un défilé de personnes qui viennent prier contre les grilles qui entourent le tombeau.
Aprés cette visite nous sommes allés voir Dar Lasram où se trouve le siège de l'Association pour la sauvegarde de la Medina et un atelier d'architecture où l'on peut examiner des photos des projets de restauration réalisés et ceux qui sont en cours.. Il y a là un travail très important qui se fait et dont j'avais vu des signes en parcourant les rues où de nombeaux travaux sont en cours.
Enfinn nous avons terminé par une petite place très charmante où se trouve le Musée de la ville de Tunis. Le bâtiment du musée et la petite place viennent d'être restaurés.
Même s'il reste beaucoup à faire on peut dire, je crois, que cette vielle Medina chargée d'histoire est sauvée et c'est très bien.
Il me restera à visiter maintenant au cimetière du Jellez que je connais par ailleurs, le tombeau de Lalla Manoubia la sainte de Tunis au sujet de laquelle Assia Djebar a fait sa thése et que je voudrai bien aussi retrouver. On restaure aussi au Jellez le mausolée d'un Bey.
Ce blog est consacré à mes coups de coeur dans l'actualité, dans la littérature et dans mes voyages
jeudi 28 mai 2009
lundi 18 mai 2009
Dar El Medina
Visite, ce matin, de la Medina de Tunis et j'ai eu l'agréable surprise d'y voir de nombreux travaux de restauration dans l'abord immediat de la Mosquée Zitouna. C'est très bien et cela met fin à une époque ou cette Medina était un peu trop laissée à l'abandon. Au cous de cette déambulation , visite de Dar El Medina un ancien palais du temsp des Beys, restauré entierement et transformé par les propriétaires en hôtel de charme. Je dois dire que la restauration est absolument magnifique, dans le respect des maisons anciennes avec une décoration simple et de très bon gôut. Il y a au sommet de la maison qui comporte deux étages une splendide terrasse qui permet une vue sur toute la ville et où l'on peut prendre une consommation. Il faisait, ce matin, à 10 heures un peu chaud mais j'imagine que cela doit être très agréable soir au coucher du soleil.
L'idée d'hôtel de chjarme ou de maisons d'hôtes se developpe depuis quelques années et s'adressent aux touristes qui ne sont pas attirés par les grands hôtels du bord de mer.
Je peux citer ici deux hôtels de charme qui méritent le détour:
http://www.darelmedina.com/
http://www.hoteldardhiafa.com/
L'idée d'hôtel de chjarme ou de maisons d'hôtes se developpe depuis quelques années et s'adressent aux touristes qui ne sont pas attirés par les grands hôtels du bord de mer.
Je peux citer ici deux hôtels de charme qui méritent le détour:
http://www.darelmedina.com/
http://www.hoteldardhiafa.com/
samedi 16 mai 2009
Bayrou au second tour
Bien qu'en Tunisie pour quelques semaines je ne me désintéresse pas pour autant de la politique française et j'ai lu avec intérêt les sondages et analyses qui placent Bayrou au second tour en 2012. Si tel était la cas il aurait de très grande chance de l'emporter. 2012 est encore bien loin mais si les choses se confirment la question du vote utile se posera avec accuité et l'on verra alors ceux qui préfèrent la pureté des idées et Sarkozy et ceux qui voudront un vote efficace et l'élimination de Sarkozy. Le problème ne se posera pas, hélas , autrement. Voici, entre autre, l'article du Nouvel Observateur, sur ces sondahttp://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/politique/20090516.OBS7057/44_des_francais_voient_bayrou_au_second_tour_en_2012.htmlges.
vendredi 15 mai 2009
La Rachidia
Ce matin promenade en ville. Nous garons la voiture dans le parking de l'hôtel Abou Nawes et allons flaner sur l'avenue Habib Bourguiba. Nous en profitons pour visiter l'Hôtel El Mourabi et ses trois restaurants. Il est dommage que ces restaurants ne soient pas installés au dernier étage (22 °) où l'on a une vue sur toute la ville.
Nous prenons des places au théatre de Tunis pour la soirée du 29 Mai prochain ou La Rachidia donne un concert.
La Rachidia est une véritable institution dans le domaine de la musique arabe et je donne ci-dessous le site de Wikipedia consacré à la Rachia.
http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Rachidia
Nous prenons des places au théatre de Tunis pour la soirée du 29 Mai prochain ou La Rachidia donne un concert.
La Rachidia est une véritable institution dans le domaine de la musique arabe et je donne ci-dessous le site de Wikipedia consacré à la Rachia.
http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Rachidia
mercredi 13 mai 2009
Pierre Michon: Les Onzes
Les Onze de Pierre Michon est un petit livre d’un peu plus de cent pages consacrées à un tableau qui se trouve au Louvre et dont le titre est précisément : « Les Onze ». Ce tableau de François-Elie Corentin, « cette cène révolutionnaire » comme le dit Michelet est consacré à un portrait de groupe des onze membres du Comité de Salut Public à ce moment très précis de notre histoire que constitua la Terreur. Il y a là Carnot, Billaud, Prieur, Prieur, Collot, Couthon, Robespierre, Barére, Lindet, Saint Just, Saint André.
Ce livre, dans un style absolument remarquable revient sur la vie de ce peintre assez peu connu, en tous cas ignoré de moi jusqu’à ce jour, François-Elie Corentin qui fut un peintre connu à son époque et qui travailla dans l’atelier de David. Mais ce livre revient surtout sur l’histoire très particulière de ce tableau et il le fait, à la manière d’un livre policier en ménageant le suspens. J’ai ainsi appris que Jules Michelet dans son Histoire de la Révolution avait consacré douze pages à ce tableau et en avait raconté l’histoire, notamment celle de sa commande.
Je ne veux pas dévoiler la fin de l’histoire pour ceux qui voudrait lire ce livre, mais je me conterai de dire que la commande de ce tableau (Par qui fut-elle faîte ?) est un acte politique à ce moment particulier de la Terreur. Comment un tableau peut –il être un acte politique, c’est ce qu’il faut découvrir en lisant ce livre.
Lors de mon prochain séjour à Paris j’irai évidemment voir ce tableau au Louvre et je relirai, en rentrant à Pau, les pages que lui consacre Michelet.
Je connaissais de Pierre Michon son petit livre « Vies minuscules » que j’avais aimé. Celui là ne m’a pas déçu non plus.
PS Pour être honnête il faut que j'avoue que je me suis fait totalement avoir et que mon commentaire s'en ressent. Les Onzes , ce n'est qu'un roman et ni le peintre ni le tableau n'ont existé. C'est ce que me disent les nombreuses critiques que j'ai trouvé sur internet. En voici une parmi d'autres. Dommage je n'irai pas au Louvre voir ce tableau!
http://didier-jacob.blogs.nouvelobs.com/archive/2009/05/04/pierre-michon-encore-lui1.html
Ce livre, dans un style absolument remarquable revient sur la vie de ce peintre assez peu connu, en tous cas ignoré de moi jusqu’à ce jour, François-Elie Corentin qui fut un peintre connu à son époque et qui travailla dans l’atelier de David. Mais ce livre revient surtout sur l’histoire très particulière de ce tableau et il le fait, à la manière d’un livre policier en ménageant le suspens. J’ai ainsi appris que Jules Michelet dans son Histoire de la Révolution avait consacré douze pages à ce tableau et en avait raconté l’histoire, notamment celle de sa commande.
Je ne veux pas dévoiler la fin de l’histoire pour ceux qui voudrait lire ce livre, mais je me conterai de dire que la commande de ce tableau (Par qui fut-elle faîte ?) est un acte politique à ce moment particulier de la Terreur. Comment un tableau peut –il être un acte politique, c’est ce qu’il faut découvrir en lisant ce livre.
Lors de mon prochain séjour à Paris j’irai évidemment voir ce tableau au Louvre et je relirai, en rentrant à Pau, les pages que lui consacre Michelet.
Je connaissais de Pierre Michon son petit livre « Vies minuscules » que j’avais aimé. Celui là ne m’a pas déçu non plus.
PS Pour être honnête il faut que j'avoue que je me suis fait totalement avoir et que mon commentaire s'en ressent. Les Onzes , ce n'est qu'un roman et ni le peintre ni le tableau n'ont existé. C'est ce que me disent les nombreuses critiques que j'ai trouvé sur internet. En voici une parmi d'autres. Dommage je n'irai pas au Louvre voir ce tableau!
http://didier-jacob.blogs.nouvelobs.com/archive/2009/05/04/pierre-michon-encore-lui1.html
samedi 9 mai 2009
Les maisons d'Hammamet
Dans un livre des éditions l’Omnibus paru en 2005 : « Tunisie :Rêve de partage » et que je reprends dans ma bibliothèque, je trouve un texte de l’écrivain Michel Tournier, sous le titre : « Cinq jours cinquante ans ou le voyage à Hammamet ». Il s’agit de l’évocation par l’écrivain d’une des fameuses maisons d’Hammamet où il eut le plaisir de séjourner en 1973.
Depuis les années qui ont suivies la première guerre mondiale Hammamet a attiré de nombreux européens souvent riches et oisifs qui décidèrent d’y passer, souvent, plusieurs mois de l’année voire d’y vivre totalement et d’y faire construire leurs maisons.
Parmi ces maisons magnifiques, surtout par leurs jardins luxuriants, celle de Jean et Violet Henson. C’est l’histoire de cette maison que nous raconte Michel Tournier, maison qui appartient aujourd’hui à l’héritière des Henson, madame Leila Menchari, par ailleurs décoratrice célèbre de la maison Hermès.
Je ne connais pas personnellement cette maison et je le regrette, mais je peux assez aisément m’en faire une idée non seulement à la lecture du texte de Michel Tournier et du roman qu’elle a inspiré à Catherine Hermary-Vieille, « Le jardin des Henderson » mais aussi une maison qui lui ressemble et qui fût bâtie à la même époque par un aristocrate roumain, Sebastian. La Dar Sebastian est aujourd’hui le Centre Culturel d’Hammamet et on la visite en parcourant aussi ses magnifiques jardins remplis d’une végétation profuse. J’ai toujours cependant regretté un évident manque d’entretien de cette maison superbe, laissée un peu trop à l’abandon mais qui conserve son charme. Il a dû y faire bon vivre. Il faut donc lire le texte de Michel Tournier, le roman de Catherine Hermary-Vieille et déambuler tranquillement dans les jardins et dans la maison de Sebastian.
Depuis les années qui ont suivies la première guerre mondiale Hammamet a attiré de nombreux européens souvent riches et oisifs qui décidèrent d’y passer, souvent, plusieurs mois de l’année voire d’y vivre totalement et d’y faire construire leurs maisons.
Parmi ces maisons magnifiques, surtout par leurs jardins luxuriants, celle de Jean et Violet Henson. C’est l’histoire de cette maison que nous raconte Michel Tournier, maison qui appartient aujourd’hui à l’héritière des Henson, madame Leila Menchari, par ailleurs décoratrice célèbre de la maison Hermès.
Je ne connais pas personnellement cette maison et je le regrette, mais je peux assez aisément m’en faire une idée non seulement à la lecture du texte de Michel Tournier et du roman qu’elle a inspiré à Catherine Hermary-Vieille, « Le jardin des Henderson » mais aussi une maison qui lui ressemble et qui fût bâtie à la même époque par un aristocrate roumain, Sebastian. La Dar Sebastian est aujourd’hui le Centre Culturel d’Hammamet et on la visite en parcourant aussi ses magnifiques jardins remplis d’une végétation profuse. J’ai toujours cependant regretté un évident manque d’entretien de cette maison superbe, laissée un peu trop à l’abandon mais qui conserve son charme. Il a dû y faire bon vivre. Il faut donc lire le texte de Michel Tournier, le roman de Catherine Hermary-Vieille et déambuler tranquillement dans les jardins et dans la maison de Sebastian.
jeudi 7 mai 2009
Le voyage en Algérie
Voici un nouveau livre dans la collection « Bouquins » chez Robert Laffont paru cette année et qui vient après d’autres excellents : « L’Algérie : un rêve de fraternité » et « L’Algérie en guerre ». Le principe de cette collection est de publier des anthologies de textes, le plus souvent d’écrivains connus sur un thème particulier ; ici le voyage accompli par de nombreuses personnalités en Algérie après la conquête de 1830, à l’image du fameux « voyage en Orient » cher aux romantiques.
Tous ces textes sont parus entre 1830 et 1930 et leur lecture donne une excellente idée de la période coloniale avec ses hésitations, ses combats et ses crimes. De grands écrivains (Gauthier, Dumas, les frères Goncourt, Alexis de Tocqueville, Eugène Fromentin, Daudet, Maupassant puis André Gide, Montherlant, Isabelle Eberhardt) s’expriment mais aussi des auteurs moins connus, souvent chargés de mission par les gouvernements de l’époque.
Tout cela se lit agréablement et notamment la description des paysages, du climat et des populations, mais on comprend aussi en lisant ces texte combien la France s’est mal comportée. On le savait mais après cette lecture on ne peut décidément plus l’ignorer.
Il y a des textes absolument insupportables où se donne libre cours un mépris racistes et des vues, qui, surtout avec le recul, sont gravement erronées. Je ne citerai que quelques lignes de Louis Veuillot dont la bêtise éclate aujourd’hui.
Louis Veuillot débarque à Alger en février 1841, précédé d’une solide réputation de pamphlétaire et de réactionnaire catholique. Il fut, par ailleurs, secrétaire du Maréchal Bugeaud. Voilà un exemple de bêtise (je serai porté à utiliser un mot plus cru) qu’écrit Veuillot :
« Les derniers jours de l’islamisme sont venus ; notre siècle est probablement destiné à le voir quitter les rivages de l’Europe, non seulement de cette vieille Europe qu’il a jadis envahie et si longtemps menacée, mais de cette Europe nouvelle et agrandie qui est née partout où l’Europe ancienne a porté la croix…Alger dans vingt ans n’aura d’autre Dieu que le Christ »
Et plus loin : « Or il faut être aveugle pour ne pas voir que c’est le dessein de Dieu d’en finir avec l’islamisme et dés lors tout y concourra. »
On eut dire qu’il avait tout compris et qu’il prenait ses rêves pour des réalités !
Quand on lit ce livre, on comprend que le précédent dans la collection: " Algérie: un rêve de fraternité" portait bien son titre. La fraternité ne pouvait être qu'un rêve inaccessible dans le sytème colonial.
Tous ces textes sont parus entre 1830 et 1930 et leur lecture donne une excellente idée de la période coloniale avec ses hésitations, ses combats et ses crimes. De grands écrivains (Gauthier, Dumas, les frères Goncourt, Alexis de Tocqueville, Eugène Fromentin, Daudet, Maupassant puis André Gide, Montherlant, Isabelle Eberhardt) s’expriment mais aussi des auteurs moins connus, souvent chargés de mission par les gouvernements de l’époque.
Tout cela se lit agréablement et notamment la description des paysages, du climat et des populations, mais on comprend aussi en lisant ces texte combien la France s’est mal comportée. On le savait mais après cette lecture on ne peut décidément plus l’ignorer.
Il y a des textes absolument insupportables où se donne libre cours un mépris racistes et des vues, qui, surtout avec le recul, sont gravement erronées. Je ne citerai que quelques lignes de Louis Veuillot dont la bêtise éclate aujourd’hui.
Louis Veuillot débarque à Alger en février 1841, précédé d’une solide réputation de pamphlétaire et de réactionnaire catholique. Il fut, par ailleurs, secrétaire du Maréchal Bugeaud. Voilà un exemple de bêtise (je serai porté à utiliser un mot plus cru) qu’écrit Veuillot :
« Les derniers jours de l’islamisme sont venus ; notre siècle est probablement destiné à le voir quitter les rivages de l’Europe, non seulement de cette vieille Europe qu’il a jadis envahie et si longtemps menacée, mais de cette Europe nouvelle et agrandie qui est née partout où l’Europe ancienne a porté la croix…Alger dans vingt ans n’aura d’autre Dieu que le Christ »
Et plus loin : « Or il faut être aveugle pour ne pas voir que c’est le dessein de Dieu d’en finir avec l’islamisme et dés lors tout y concourra. »
On eut dire qu’il avait tout compris et qu’il prenait ses rêves pour des réalités !
Quand on lit ce livre, on comprend que le précédent dans la collection: " Algérie: un rêve de fraternité" portait bien son titre. La fraternité ne pouvait être qu'un rêve inaccessible dans le sytème colonial.
Arrivée en Tunisie 2
Voilà donc une semaine que nous sommes à Hammamet, après une traversée sur le Carthage entre Marseille et Tunis tout à fait tranquille. Nous avons fait les opérations de police et de douane sur le bateau et nous avons donc quitté le port de La Goulette très rapidement. A l’appartement nous avons repris nos marques et Rachid s’occupe de faire faire quelques travaux de peinture. Nous sommes en bord de mer et l’entretien est évidemment nécessaire
Le temps est beau mais pas très chaud ce qui n’empêche pas certains touristes de se baigner. Ce ne sera pas tout de suite mon cas.
Nous avons découvert l’utilité des liaisons WiFi et tous les jours en fin d’après midi nous allons nous installer dans les salons d’un hôtel ou d’un autre et nous surfons sur internet. Avant-hier nous étions à l’Oceana et hier à l’hôtel Lalla Baya. Cet hôtel est un des plus pittoresque d’Hammamet Sud. Son architecture est inspirée des bâtiments d’Afrique Noire en pisé et traversés de tronc d’arbres qui dépassent les murs. A l’extérieur et à l’intérieur on se croirait au fin fond du Sénégal ou du Dahomey.
Demain je vais à Tunis pour quelques courses.
J’ai commencé la lecture d’un livre très intéressant de la collection « Bouquins » chez Robert Laffont : « Le voyage en Algérie ». Il s’agit d’une anthologie des textes de voyageurs en Algérie juste après la conquête en 1830. Je reviendrai plus longuement sur ce livre de plus de mille pages quand je l’aurai terminé, mais je peux déjà dire que tous ces textes sont précédés d’une excellente introduction de Franck Laurent, maître de conférence à l’Université du Maine.
Le temps est beau mais pas très chaud ce qui n’empêche pas certains touristes de se baigner. Ce ne sera pas tout de suite mon cas.
Nous avons découvert l’utilité des liaisons WiFi et tous les jours en fin d’après midi nous allons nous installer dans les salons d’un hôtel ou d’un autre et nous surfons sur internet. Avant-hier nous étions à l’Oceana et hier à l’hôtel Lalla Baya. Cet hôtel est un des plus pittoresque d’Hammamet Sud. Son architecture est inspirée des bâtiments d’Afrique Noire en pisé et traversés de tronc d’arbres qui dépassent les murs. A l’extérieur et à l’intérieur on se croirait au fin fond du Sénégal ou du Dahomey.
Demain je vais à Tunis pour quelques courses.
J’ai commencé la lecture d’un livre très intéressant de la collection « Bouquins » chez Robert Laffont : « Le voyage en Algérie ». Il s’agit d’une anthologie des textes de voyageurs en Algérie juste après la conquête en 1830. Je reviendrai plus longuement sur ce livre de plus de mille pages quand je l’aurai terminé, mais je peux déjà dire que tous ces textes sont précédés d’une excellente introduction de Franck Laurent, maître de conférence à l’Université du Maine.
vendredi 1 mai 2009
Arrivée enTunisie
Me voilà donc arrivé en Tunisie pour deux mois. Nous avons embarqué sur le Carthage à Marseille jeudi en début d'aprés-midi et ce matin à 11 h.nous étions au port de La Goulette. Je pensais que nous serions trés peu à bord mais c'était sans compter un rallye dans le sud Tunisien.A peu prés cinquante 4X4 plus un camion pour l'intandance occupaient un des ponts. Cela a fait de l'animation sur le bateau. Nous avons fait les formalités de police et de douane sur le bateau et, du coup, nous sommes vite sortis du port. Tunis a encore changé et notamment les trvaux du grand pont de Rades sont terminés. Quand nous viendrons d'Hammamet à Sidi Bou Saidnous gagnerons une vingtaine de minutes grâce à ce pont.
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